Les falsificateurs (Antoine Bello)

Une organisation secrète au rayonnement mondial a pour objectif de "créer" rétrospectivement des évènements historiques pour le bien de l'humanité. TLe héros sera mis à l'épreuve dans l'élaboration de scénarios complexes inventés de toutes pièces et qui se répercuteront dans la réalité. Tout un programme ! Les "falsificateurs" est une espèce d'ovni littéraire, surprenant et singulier, et où le concept de manipulation des esprits dérange étrangement même si c'est à priori pour notre bien.

Un week-end dans le Michigan (Richard Ford)

Lu 100 pages même pas… J'ai tenté parce que grand auteur US etc. Mais le style est trop rétro, la sauce devait bien prendre à l'époque mais là, j'arrive pas. Puis ce goût de l'apitoiement sur soi et du malheur (un homme divorcé, encore un y en a marre) me soule un peu en fait.

Shutter Island (Dennis Lehane)

Mes parents et leurs amis en parlent un soir où j'étais à la maison…Ils étaient plutôt komdéding. Du coup, ben comme d'hab je tente… Enquête sordide dans un asile paumé sur une île ma foi bien bizarre. Lecture plaisante, histoire classique et bien prenante. Problème : j'ai plus ou moins deviné et assez rapidement l'issue du truc. Du coup, arrivé vers la fin, ben ça a fait un peu "psssssscht" comme dirait un ancien président. Ça sent en tout cas l'adaptation ciné à pleines narines.

Imbroglio Negro (Chester Himes)

Après avoir enchaîné trois Vargas, me suis dit : tiens on va voir ce que vaut un autre auteur de polar. Dans la biblio de mes parents, je vois ce nom de Chester Himes, qui me parle… Du coup, je tente et c'est parti. Ici, c'est style années 50, priorité à l'action pure en plein trip harlem gangsta. Du bon bourrin en compagnie d'acolytes aux noms impayables : Ed Cercueil et Fossoyeur !