Le vertiges des auteurs (Georges Flipo)

Premier roman auto parodique, un peu naïf, mais agréable, simple et drôle. Un type se lance dans l'écriture d'un premier ouvrage : ses désillusions seront à la hauteur de ses espérances premières et il va accumuler les  "get back baby" des uns et des autres. Dommage pour la fin qu'est un peu ratée...

Le pressentiment (Emmanuel Bove)

Eh oui, c'est bien J.P Darroussin qu'on voit là sur la couv'. Le roman a été adapté au ciné il y a quelques années. Bove est un auteur français assez méconnu des années 30. Son style un peu désuet, il sent un peu le vieux papier des vieux livres mais je crois que c'est ce qui en fait son charme quelque part. Bon faut se coltiner l'histoire quand même, bien déprimante à souhait, celle du type qui plaque tout etc...